Sécurité et qualité de vie

Sécurité

Sans sécurité, il n’y a pas de liberté. Par conséquent, la sécurité de la population est une priorité absolue pour notre société, la qualité de vie des citoyens en dépend directement. Le PLRF soutient d’un côté les politiques de prévention et de réintégration pour réduire la criminalité. D’un autre côté, le PLRF ne peut pas accepter la présence de criminels et la violence : les procédures pénales doivent être rapides, efficaces et dissuasives. La protection du citoyen et de la victime doit primer sur celle du criminel. La qualité de vie est le résultat du bon fonctionnement de l’État, de ses institutions et de l’engagement des entreprises, des citoyennes et citoyens, pour un monde meilleur et plus sûr.

I. Nous voulons

  • Lutter contre la criminalité.
  • Soutenir la police qui doit continuer à se concentrer sur ses missions de base (garantir la sécurité de nos citoyens et le bon fonctionnement de nos institutions).
  • Encourager les élus fédéraux à adopter des systèmes de peines mieux adaptées aux infractions.
  • Accélérer les procédures et les traiter avec pragmatisme.
  • Renforcer la mise en réseau des acteurs (police, écoles, services sociaux) dans le domaine de la justice pénale des mineurs.
  • Appliquer le principe de proportionnalité (éviter les peines démesurées pour des incivilités sans volonté de nuire, et les peines non dissuasives pour les actes criminels volontaires).
  • Favoriser l’intégration des migrants admis pour le long terme sur le marché du travail.

II. Nous ne voulons pas

  • Une hausse de criminalité et de l’incivilité.
  • La formation de brigades citoyennes non cadrées et non formées.
  • Une police démunie de procédures et d’outils efficaces.

III. Créons des solutions

  • En évaluant et en adaptant régulièrement les effectifs de la police et de la justice.
  • En assurant une bonne collaboration avec les services fédéraux, notamment en matière de cyber protection et de renseignements.
  • En mettant à disposition de la police les moyens adaptés (caméras, suiveurs,…) dans le cadre de leurs enquêtes.
  • En favorisant les collaborations et les échanges d’informations entre les instances fédérales et cantonales.